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Photo du rédacteurStéphane Abdallah ILTIS

Du parasitisme des services sociaux comme instruments de contrôle de l'individu

Dernière mise à jour : 27 août 2019

بِسْمِ اللهِ الرَّحْمٰنِ الرَّحِيْمِ


L'emprise socio judiciaire commence très tôt, dès la petite enfance, dans les CMS où les travailleurs sociaux, agissant comme rabatteurs, repèrent les "profils" intéressants :


Familles nombreuses à revenus modestes, enfants souffrant de handicaps, mères isolées en difficulté...


Dès lors, à l'affût, ils guetteront la faille parentale qui leur permettra d'asseoir cette emprise sur les enfants : divorce conflictuel, faillite, violences conjugales, dépression...


Une fois la faille constatée, ils n'auront plus qu'à saisir "l'autorité judiciaire", qui se fera une joie d'ordonner les mesures sociales qui scelleront leur emprise pour de longues années.


Même les fausses médiations parentales (judiciarisées, contraintes, et payantes), par l'intermédiaire d'associations spécialisées, participent et relèvent de cette mécanique.


Car rarement on verra un travailleur social tenter d'arranger les choses, de bonne foi : il prendra acte de la situation de divorce, ou de violences conjugales, ou de carences éducatives, et s'empressera de pondre un rapport dans lequel il prescrira les mesures sociales "adaptées".


C'est qu'ils sont formés pour ça, conditionnés, formatés, et la plupart sont même convaincus de bien faire - "dans l'intérêt supérieur de l'enfant" pour consacrer la formule fourre-tout et prétexte.


Car c'est leur raison d'être, et leur gagne pain : ils sont là pour ça, et font ça mécaniquement, comme de bons petits soldats, rouages d'une industrie extrêmement lucrative (que j'appelle "industrie de la détresse familiale") qui, devenue une fin en soi, s'auto alimente :


Car ce n'est plus l'assistance aux familles qui prévaut, mais le fonctionnement pérenne de tous ces services sociaux, qui finalement parasitent et phagocytent la société, à laquelle ils coûtent extrêmement cher puisque financés avec de l'argent public.


Et le plus grave, c'est que pour continuer à exister et à toucher les subventions liées à leurs "activités", ils se lancent dans une véritable traque aux "cas sociaux" (quitte à les fabriquer), qui justifie tous les abus dénoncés par de nombreuses associations (on pense particulièrement au scandale des placements abusifs, soulevé par la Cour des comptes et confirmé par une enquête journalistique très poussée parue dans le magazine Nexus).


Du parasitisme des services sociaux comme instruments de contrôle de l'individu - Blog - Stéphane Abdallah ILTIS

En termes d'ingénierie sociale, cette "tumeur sociale" est loin d'être anodine, car pensée par les "élites" pour isoler et contrôler les individus dans le cadre de l'emprise socio judiciaire (diviser pour régner).


Et isoler et contrôler les individus implique de couper les liens familiaux, ce qui est proprement diabolique.


Le rôle actif et déterminant de la justice dans le process est la preuve de son caractère institutionnel.


Mais les "petites mains" des CMS ont-elles réellement conscience de ça ?


J'en doute...


Seuls les cadres supérieurs, la plupart francs-maçons à n'en pas douter, sont initiés à ce schmilblick nauséabond.


Du parasitisme des services sociaux... - Blog - Stéphane Abdallah ILTIS

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