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Photo du rédacteurStéphane Abdallah ILTIS

Tout, sauf le père !

Dernière mise à jour : 15 déc. 2019

بِسْمِ اللهِ الرَّحْمٰنِ الرَّحِيْمِ


À ce stade, il est temps de faire une petite mise au point sur ma situation de père, et ce qui a contribué à la disparition inquiétante de mon fils Ulrich à Barcelone le 22 août 2019.

Depuis 10 ans, je suis empêché par la justice (comme de nombreux pères divorcés en France) de voir mes enfants sous des prétextes fallacieux relevant de la pure calomnie et de la diabolisation.

Pour ma part, on a même osé me retirer mes droits parentaux au motif que j'ai milité en 2013 pour les droits des pères en montant sur des grues (c'est marqué noir sur blanc sur les attendus des jugements) ; entre autres prétextes totalement bidons.

Pourtant, il est formellement établi par un compte rendu de visites médiatisées sans la moindre ambiguïté datant de 2015 (car comme de nombreux autres pères j'étais réduit au régime humiliant des visites médiatisées, normalement réservé aux délinquants notoires), que je suis un parent fiable et responsable - et même que je suis LE parent fiable.

Nonobstant, la justice escamote systématiquement cette pièce fondamentale, préférant maintenir mes enfants dans un environnement délétère.

Elle est même allée jusqu'à les placer, ces derniers temps, en foyers et en familles d'accueil, n'hésitant pas à séparer la fratrie de cinq.

Car en France, c'est tout sauf le père, et on préfère placer des enfants plutôt que de les confier à ce dernier, fût-il reconnu comme un parent fiable.

Quand la justice a appris que j'avais quitté la région de résidence de mes enfants (principalement pour me rapprocher de mes parents à l'autre bout de la France), elle a aussitôt ordonné une mainlevée de placement - alors même qu'elle venait de le reconduire.

En d'autres termes, mes enfants avaient été placés pour m'empêcher de les voir - car je commençais à renouer avec eux une relation clandestine qui gênait.

Et quand je suis parti, la justice s'est empressée de les replonger dans le milieu délétère où elle les fait mariner depuis 10 ans.

C'est dans ce contexte, caractérisé notamment par une carence éducative et un défaut de surveillance, qu'Ulrich a disparu à Barcelone alors qu'il est autiste et que son état demande une vigilance accrue.

Je précise que, dans la continuité des décisions de justice JAF et JE, la juge des tutelles a préféré mettre Ulrich sous la "protection" d'une tutrice "professionnelle", qui ne le connaît pas, plutôt que sous celle de son père.

Ressortant et invoquant, pour ce faire, les accusations mensongères qui avaient servi jusque-là à m'écarter de la vie de mes enfants, et qui se trouvaient gravées dans le marbre des minutes judiciaires comme autant de casseroles ruinant définitivement ma réputation de parent (procédé classique de la justice).

Tout, sauf le père : voilà à quoi se résume donc la politique familiale de cette république bananière qu'est la France, sous contrôle intégral des loges maçonniques - elles-mêmes contrôlées par certains lobbies élitistes et les réseaux mondialistes Soros et compagnie, spécialisés dans la destruction des familles et des nations (Ordo ab Chao), en vue de l'instauration de leur Nouvel Ordre Mondial.

J'envisage très clairement - surtout s'il devait arriver quelque-chose à Ulrich - de poursuivre l'état français pour discrimination à raison du sexe.

Et quelques magistrats au pénal pour mise en danger délibérée de mes enfants - car ils connaissent depuis des années la dangerosité du milieu où ils persistent à les maintenir.

À savoir par ailleurs que la France, pays des "Droits de l'Homme", est très régulièrement épinglée par la Cour de Justice européenne pour l'iniquité de ses jugements en matière familiale.

Il est temps que cette mascarade cesse, et que cesse cette parodie de justice, et que les pères retrouvent dans ce pays la place régalienne qui est la leur.

Il n'est pas exclu que la justice me recherche pour ce post, car la vérité blesse.

Pourtant, tout est strictement factuel.

Je n'en suis pas à la première intimidation de leur part : je les attends.

Et ils devront s'expliquer sur le naufrage programmé de mes pauvres gamins.

Celui-là même qui a conduit un jeune autiste de 18 ans, démuni et vulnérable, à s'évaporer dans une métropole européenne, loin de la protection bienveillante de son père.

Je précise pour conclure que la justice, pour preuve de son mépris, n'a même pas daigné m'aviser de la disparition de mon fils qui remonte à plus de 10 jours.



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